Mental de Nolimit City est l’une de ces machines à sous que les joueurs citent dès que l’on parle de swings violents, de longues périodes sans gains et de paiements rares mais spectaculaires. Sorti en août 2021, le jeu reste pertinent en 2025, car sa « volatilité extrême » n’est pas qu’une étiquette marketing : elle est intégrée aux mathématiques, au design des fonctionnalités et à la façon dont les gains (ou leur absence) apparaissent. Avec un RTP souvent annoncé autour de 96,08 % et un gain maximal de 66 666x, c’est un titre qui peut rester discret longtemps avant de devenir chaotique en quelques tours.
Lorsqu’une machine à sous est décrite comme ayant une « volatilité extrême », l’idée est simple : le jeu est conçu pour payer moins souvent, mais quand il paie, le montant peut être nettement plus élevé. Dans Mental, ce choix de conception se remarque immédiatement. De nombreux tours en jeu de base ne donnent rien, et même quand des gains apparaissent, ils paraissent parfois modestes au regard du potentiel théorique. C’est pourquoi la gestion de bankroll est ici plus importante que sur une machine à volatilité moyenne : on ne mise pas pour des retours réguliers, mais pour la possibilité d’un gros pic de gain.
Mental est aussi connu pour être classé tout en haut des échelles de volatilité (souvent décrit comme 10/10 par certains sites et outils de suivi). Cette note n’est pas exagérée : le jeu repose sur des mécaniques d’accumulation, où les gains les plus sérieux dépendent de combinaisons spécifiques, d’améliorations et d’enchaînements de fonctionnalités plutôt que de simples gains de lignes. En clair, la valeur du jeu se déclenche surtout quand plusieurs éléments se superposent.
Il est utile de relier la volatilité au temps et à la taille de l’échantillon. Un joueur peut tourner pendant une heure et avoir l’impression que le jeu est « froid » parce qu’il n’est pas conçu pour distribuer des gains moyens en continu. Un autre peut vivre une expérience inverse s’il touche rapidement un bon enchaînement de fonctionnalités. Avec une volatilité extrême, ces deux scénarios sont réalistes. Cette imprévisibilité est au cœur de l’expérience, et explique pourquoi Mental divise autant les joueurs.
Dans la pratique, Mental offre souvent ce que les joueurs appellent des « sessions mortes » : des périodes où le solde baisse sans interruptions notables. Cela ne signifie pas forcément qu’il y a un problème : c’est un comportement normal pour une volatilité extrême. Ces jeux affichent généralement une fréquence de gains plus faible, car ils réservent une part importante de leur valeur à des résultats plus impactants.
Puis viennent les pics. Le même jeu, silencieux pendant longtemps, peut soudain déclencher une réaction en chaîne : expansion des façons de gagner, multiplicateurs et tours bonus qui s’additionnent pour produire un gain qui relativise les pertes précédentes. Ce contraste rend Mental psychologiquement intense. On ne progresse pas par petites étapes : on s’érode ou l’on bondit.
Cette dureté s’explique aussi par la manière dont le sommet est financé. Un gain maximal de 66 666x ne peut pas exister sans contrepartie : il s’appuie sur une distribution qui sacrifie la fréquence des gains moyens. Si un jeu peut payer si haut, il est courant qu’une grande partie des tours payent peu ou rien, afin que les mathématiques restent cohérentes sur le long terme.
Mental n’est pas seulement un jeu « à forte variance » à cause de son gros multiplicateur maximal. Il l’est aussi à cause de la manière dont il construit son potentiel de gain. Le jeu utilise une structure de rouleaux variable (souvent décrite comme 5 rouleaux avec un nombre de lignes changeant) et un système en « ways » qui peut évoluer fortement. Cela suffit déjà à rendre les résultats irréguliers, mais Mental va plus loin en ajoutant des mécaniques qui amplifient les gains quand les conditions s’alignent.
Au lieu de s’appuyer sur des lignes de paiement répétitives, Mental privilégie des fonctionnalités capables de transformer la configuration des rouleaux ou d’introduire des états « spéciaux » de symboles. C’est pourquoi beaucoup de sessions donnent l’impression d’attendre un déclic. Sur des machines plus traditionnelles, les gains arrivent via des schémas réguliers ; ici, la valeur semble être mise de côté pour des moments où la logique des fonctionnalités est active.
Un autre point clé est que les meilleures séquences sont souvent concentrées dans les modes bonus. Sur une machine à volatilité moyenne, le jeu de base peut déjà offrir un bon niveau d’animation et de retours. Dans Mental, le jeu de base ressemble parfois davantage à un ticket d’entrée vers les moments où le jeu révèle réellement son identité — ce qui est typique des titres Nolimit City très volatils.
Mental est connu pour des bonus où les états spéciaux, les comportements améliorés des symboles et les multiplicateurs apparaissent plus facilement. Quand la meilleure partie de la distribution des gains est poussée vers le bonus, le jeu de base devient forcément plus exigeant. Ce n’est pas un hasard : c’est ainsi que le jeu fait « sentir » sa volatilité extrême.
Cette conception crée une forte dépendance aux fonctionnalités : on ne joue pas vraiment pour des petits gains réguliers, mais pour l’entrée dans le bonus et les améliorations qui s’y déclenchent. Cela signifie aussi que deux bonus peuvent être totalement différents. L’un peut payer très peu, l’autre exploser — parce que la valeur n’est pas répartie uniformément entre les résultats possibles.
C’est aussi pour cette raison que Mental est souvent mentionné avec sa suite, Mental II, sortie le 25 mars 2025. L’original reste un repère, car il a imposé une version particulière de la volatilité : thème sombre, mathématiques agressives et structure de bonus capable de récompenser la patience, sans jamais la garantir.

Les machines à sous à volatilité extrême demandent une autre approche. Avec Mental, il est logique de considérer sa mise comme une décision adaptée à une session longue, plutôt que comme quelque chose à augmenter sur un coup de tête. Comme de longues séries perdantes sont possibles, le conseil « ne jouer que ce que l’on peut se permettre de perdre » devient ici particulièrement concret. Ce n’est pas une leçon de morale : c’est une réalité, car le rythme naturel du jeu peut pousser certains joueurs à vouloir se refaire s’ils n’y sont pas préparés.
La planification de bankroll ne sert pas à garantir un gain ; elle sert à réduire le risque d’être obligé d’arrêter au pire moment. Beaucoup de joueurs expérimentés abordent Mental avec des mises plus basses que sur des jeux à volatilité moyenne, précisément parce qu’ils anticipent des périodes plus longues sans retours significatifs. Si l’on mise trop haut, la variance peut épuiser le budget avant même de voir la séquence de fonctionnalités attendue.
Il est également important d’être honnête sur ce que l’on recherche. Mental peut être excitant par son ambiance et son intensité, mais si vous préférez des gains fréquents, ce titre ne correspond peut-être pas à votre style. En 2025, il existe de nombreuses alternatives à volatilité plus douce, et les choisir n’est pas un défaut : c’est une préférence cohérente avec votre manière de jouer.
Une approche sensée avec Mental consiste à définir trois éléments avant de lancer les tours : votre budget, votre mise et votre point d’arrêt. Ce dernier est crucial, car la volatilité extrême peut donner envie de continuer « jusqu’à ce que le bonus tombe ». En réalité, le bonus peut arriver vite… ou beaucoup plus tard. Le jeu ne vous doit pas une fonctionnalité parce que vous avez déjà mis du temps et de l’argent.
Un autre point pratique : éviter de transformer la session en mission de récupération. Comme les gros gains sont rares, chasser les pertes sur Mental est particulièrement risqué. Si vous augmentez la mise pour « revenir », vous amplifiez la variance au moment où vous êtes le moins prêt émotionnellement à la subir.
Enfin, si vous aimez les mécaniques de Nolimit City mais souhaitez une sensation différente, il peut être utile de comparer Mental à d’autres titres du studio ou de tester Mental II (sorti en 2025). Cela permet de garder l’univers et le style, tout en évitant de dépendre d’un seul profil de gains pour toutes vos sessions.